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    Avenir 

     
     

    Il y avait entre nous comme une pensée commune,

     

    Le partage dune philosophie sans prétention aucune :

     

    Lespérance dune forme concrète dutopie,

     

    Dun avenir empli despoir et de vie.

     

     

    Linconnu, un futur inquiétant sans promesses ni certitudes

     

    Que lon appréhende darpenter dans la solitude.

     

    Linconnu, synonyme de changement et de nouveauté,

     

    Un avenir de rencontres et de liberté.

     

    Linconnu, source dexpérience et de moult souvenirs,

     

    Qui bâtissent notre identité et notre avenir.

     

     

    Linconnu tel quil est décrit dans les livres,

     

    Linconnu tel que nous avions décidé de le vivre...

     

    Enkisheena,  11 / 06 / 16

     

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  • Crescendo

    Levée sur noire, anacrouse discrète, pianissimo

    Temps sur blanche, longue Arsis, piano

    Troisième temps, accent vibré, mezzo piano

    Levée de mesure postérieure, poussé jusqu'au talon, mezzo forte

    Longue ronde bordant toute la mesure, pleine de sentiments et de fougue, forte

    Arrivée sur une noire, caractère plus majestueux, fortissimo

    Soupir, demi-pause, pause, fin

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  • Telle une nappe de velours

    La douce écume des jours

    A mes pieds vient s’échouer

    Dissimulant les vestiges du passé ;

     

    Un message qui, dans le sable,

    Avait été patiemment gravé

    Pareil à une triste fable

    Au fil du temps et des années.

     

    Peut-être un appel au secours,

    Celui d’une silhouette invoquant l’amour,

    Ou une souffrance, par les vagues, effacée

    Et la promesse de tout recommencer.

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  • Un pas.

    Elle ne vit autour d’elle que l’immensité du froid.

    Puis deux.

    Au loin lui sembla la douce clarté d’un feu.

    Bientôt trois.

    Peut-être un simple rêve dans lequel on croit.

    Seulement quatre.

    Douloureuse vision de flammes vacillant dans l’âtre.

    Enfin cinq pas !

    Mais elle sait que jamais elle ne l’atteindra.

    Six…

    Elle s’écroule, n’en peux plus ; il faut qu’elle réfléchisse…

     

    Elle oublie le temps, remet en question sa vie.

    Puis une main se tend, alors elle la saisit.

    Elle se relève et marche,

    Hors de question qu’elle crève comme une lâche.

    Même si son ultime but est un mirage,

    Elle en fera le fabuleux voyage...

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  • Lorsque se lève le jour, disparaît la nuit

    Lorsque les nuages gonflent, on entrevoit la pluie

    Lorsque le tonnerre gronde, se taisent tout autre bruit

    Lorsque vient l’été, murissent les fruits

    Lorsque passent les années, partent les amis…

     

    Mais ce n’est pas parce qu’on ne les voit plus,

    Ce n’est pas parce que la vie, sans eux, continue,

    Qu’on les oublis…

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  • Ombre noire chevauchant dans la nuit

    Galop infernal, terres immaculées

    Ténèbres

     

    Brise soufflant à travers les bosquets

    Vent au réveil capricieux

    Tempête

     

    Douleur amère tergiversant les hommes

    Doux supplice, affliction étrange

    Confusion

     

    Mort de noir voilée dégainant une faux

    Aux voyageurs imprudents

    Périls

     

    Lame passant au travers des corps

    Exécution divine

    Agonie

     

    Âmes délivrées montant au ciel

    Ascension enivrante

    Libération

     

    Alizé caressant le visage des défunts

    Bonheur innocent de l'évasion

    Renaissance

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  •  

    Dans le clapotis de la rivière, 

     

    J’entends ta voix. 

     

    Dans le reflet de l’eau clair, 

     

    Ton visage est là. 

     

    Je reconnais même ton caractère 

     

    Si calme parfois, 

     

    Ou grondant comme le tonnerre. 

     

    Je suis ton pas, 

     

    Aussi insaisissable que l’air. 

     

      

     

    Pourtant au fond de moi je le sais, 

     

    Jamais je ne te rattraperai… 

     

    Qu’as-tu fais, ô liberté, 

     

    Pour ainsi nous subjuguer, 

     

    Éveiller en nous un profond désir 

     

    Auquel personne ne peut subvenir ? 

     

    Allégorie aux multiples visages, 

     

    Dis-moi que tu n’es pas qu’un mirage, 

     

    Que libre n’est pas synonyme de sauvage… 

     

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  • Des coups de feu en l’air tirés

    Annonceurs d’une triste vérité.

    Des battements de cœur affolés,

    Des cris et des pleurs retentissants

    Quelques restaurants désertés,

    Des chaises en plastique renversées

    de part et d’autre de la chaussée.

                         Une haine qui fit couler le sang.

    Hommages à des personnes aimées

    qui ne seront jamais oubliées

    dans nos messages de liberté,

    D’espoirs de paix pour nos enfants.

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  • Au temps qui s’écoule, plus tranchant que le sabre,

    A la sève qui coule, au plus profond de l’arbre,

    Aux belles feuilles vertes, qui balancent dans le vent,

    L’automne cause votre perte, mais viendra le printemps…

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